C’est Beau comme une Colo La socialisation en centres de vacances
Cet ouvrage résulte d’une croisée de chemins dans la direction partagée de «la cause des colos»,
Celui de Jean HOUSSAYE, Professeur de Sciences de l’Education à l’Université de Rouen, praticien des centres de vacances et théoricien, il a déjà publié : • Un avenir pour les colonies de vacances (1977) • Le livre des colos (1989) • Aujourd’hui, les centres de vacances (1991) • Et pourquoi que les colos elles sont pas comme ça ? (1995)
Celui de l’ASSOCIATION NATIONALE TEMPS-JEUNES. Résolument engagée pour une meilleure et nécessaire reconnaissance des colos, «cette idée neuve depuis plus d’un siècle», Temps Jeunes a déjà produit deux études nationales et une bande dessinée. • Pourquoi seulement 1 enfant sur 10 profite t-il aujourd’hui des colos ? (1996), étude sur les blocages économiques et sociaux au départ en centres de vacances. • 65 % des enfants ont envie de partir en colos ! Alors pourquoi ne partent-ils pas ? (1999), étude prospective sur les centres de vacances des années 2000, les attentes des enfants et des parents. • Le temps des colos, une BD qui raconte l’histoire d’un enfant qui part pour la première fois en centre de vacances.(2001)
LA MORT DES COLOS ? NON, LA VIE…
C’est beau comme une colo analyse sept années d’un centre de vacances d’enfants en Bretagne et nous fait découvrir le quotidien de la vie des enfants au cours de ces différents séjours. Enfants des villes, enfants des champs, enfants des banlieues, comment se comportent tous ces enfants, garçons et filles, petits et grands?
LA MORT DES COLOS? NON, LA VIE ET L’ESPOIR…
C’est beau comme une colo montre à quoi ça sert une colonie de vacances. Qu’est-ce qu’on y fait? Qu’est-ce qu’on y gagne? Qu’est-ce qu’éduquer par la colo? Quelle est la place du jeu, des activités, des autres, du rire? Qu’est-ce qu’on y découvre qu’on ne peut acquérir ailleurs? Et pourquoi petits et grands les aiment, leurs colos?
LA MORT DES COLOS? NON, LA VIE, L’ESPOIR ET LE COMBAT…
C’est beau comme une colo dénonce comment certains élus préfèrent l’argent, les résidences de luxe, au bonheur des enfants. Il ne suffit pas de déplorer qu’un tiers des enfants ne parte pas pendant les vacances. Encore faut-il étendre et développer les centres de vacances pour que les enfants puissent continuer à partir. Les centres de vacances sont nécessaires. Ce livre le montre, non pas en se satisfaisant de bonnes intentions ou de déclarations de principe, mais en analysant par le menu les facettes des colos. |